The Witch Slay
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 Francis Daitz

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Francis
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Francis


Francis Daitz Vide
MessageSujet: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeMer 8 Sep 2010 - 4:53

Francis Daitz Francis4

Francis Daitz Autreh10
Francis Daitz Autres10

Francis Daitz Effigi11

Nom :Daitz

Prénom :Francis

Surnom :aucun

Âge :16 ans

Titre :paysan

Métier :prostitué

Lieu de Résidence :Une chambre quasi permanente à l’auberge. Il n’est pas connu partout que Francis est un prostitué.

Relations particulières :

Adal Loewenstein : Il est le meilleur ami de Francis. Le seul avec qui le prostitué est capable de se montrer honnête. Au fil du temps, cette amitié sincère réciproque s'est transformée en amour romantique et charnel à sens unique pour Francis. Francis est amoureux de Adal, mais ce dernier ne ressent rien de plus que de l'amitié fraternelle pour le jeune homme.

Alexandrine d'Hasbauer : Elle est la rivale de Francis car c'est elle qui détient le coeur d'Adal. Francis la déteste.

Océane Castelli (défunte) : Francis loge de temps à autres chez la grand-mère de celle-ci. Cette famille a toujours été un refuge pour lui depuis qu'il vit à Forbach

Sentiments vis-à-vis de l’Inquisition :Ils sont une bonne source de revenu. Vendre des sorcières, rien de plus facile. On pointe une femme en racontant qu’elle a fait bouillir son chat ou qu’elle a regardé une charrette et que la roue s’est brisée aussitôt, et voilà quelques piécettes vite gagnées.

Sentiments vis-à-vis des Sorcières :Elles sont aussi une bonne source de revenu. Chantage ou vente d’information, tout est possible.

Objectif éventuel de développement :À 15 ans, on n’a pas vraiment de conscience de l’avenir. Pour l’instant, il faut vivre et surtout beaucoup s’amuser. Tout dépend de la définition que vous vous faites du mot plaisir.

Signe distinctif :Une énorme cicatrice lui traverse la gorge. Mais on peut très bien voir qu’il ne s’agit pas de la blessure d’une lame. C’est la marque d’une brûlure, plus précisément, celle du frottement excessif d’une corde, comme si on avait voulu pendre ce pauvre gamin.

Description physique :À cet enfant, on donnerait le bon Dieu sans confession tellement il a l’air d’un ange. Ses cheveux châtains pâles aux légers reflets roux sont un peu banals, mais son visage semble être celui de l’innocence même. Une peau pâle comme le lait parsemée de mignonnes taches de rousseur qui s'étendent sur son nez et ses joues. Mais l’élément le plus remarquable de son visage est son regard. De grands yeux d’un bleu profond. Une chose est certaine, c’est que ce charmeur sait regarder les femmes, bien que la majorité de ses clients soient des hommes. Il est de grandeur moyenne, mince et élancé, les joues creuses, les lèvres légèrement galbées. Il damnerait un pape, c'est le cas de le dire. Il apprécie les vêtements sobres, bien coupés, avec une touche de noblesse, le petit foulard dans le cou. Le seul élément moins adorable chez cet enfant est cette cicatrice plutôt étrange, seul un pendu aurait une telle cicatrice…

Description psychologique :Loin d’être un ange, Francis serait plutôt un petit démon. Le genre charmant qui vous fait craquer avec ses grands yeux bleus. Toujours le mot pour charmer, la fadaise pour attirer l’attention. Il est de ces personnes au charisme qui vous donne envie d’attirer son attention. Et il sait se faire désirer, c’est sans doute ce qui fait craquer ses clients. Mais il ne faut pas se fier à son charme indéniable, Francis n’a aucune morale. Déjà à 5 ans, il savait manipuler ses parents afin qu’ils punissent sa sœur de 3 ans. Un menteur invétéré et compulsif. Demandez-lui de raconter une histoire deux fois, vous aurez deux versions différentes. Sa personnalité manipulatrice s'est développée dans l'enfance, il s'agissait, au départ de mensonges sans grandes conséquences. Ensuite, c'est devenu un moyen pour lui de se créer une nouvelle vie. Une nouvelle rencontre signifiait attirer l'attention en inventant une enfance théâtrale. Au fin fond de lui-même, Francis est insécure et a peur d'être laissé pour compte. Lui qui était si mal aimé durant son enfance, veut que tout le monde l'aime, mais ses mensonges produisent parfois l'effet contraire. Lorsqu'il est démasqué, Francis est vulnérable. Il doit faire attention à ne pas trop tirer le voile et il peut bien s'en sortir. En un mot, Francis est un paradoxe. Mentir pour être aimé, mais le mensonge fait haïr.

Autre(s) : Rien d’autre que sa cicatrice et sa manie de mentir.


Francis Daitz Vita_a11



D’abord, il y eu Émile. Émile Daitz, premier né de Martin et Luce Daitz, paysans pauvres, essayant tant bien que mal de survivre sur une terre infertile, dans un village du Nord, et avec des animaux qui mouraient sans cesse de maladies. Vous savez, habituellement, on trouve les bébés beaux. Ils sont toujours beaux, grands yeux, belles joues à croquer et un petit nez tout rose. Ils sont adorables. Mais ce ne fut pas le cas d’Émile. Déjà, on pouvait voir ses oreilles décollées, son nez trop long et ses yeux trop petits. Si petits que même les yeux grands ouverts, ils semblaient à demi clos. Déjà on pouvait voir que cet enfant deviendrait un parfait abruti. Peut-être ses parents le savaient-ils aussi, du coup, ils se remirent au travail pour qu’à peine 10 mois après cette naissance se soit le tour de Florance de voir le jour. Oui, les bons gènes avaient été au rendez-vous cette fois-là. Florance avait des grands yeux d’un noir profond, des cheveux, elle en avait déjà une bonne tignasse brun foncé. Une peau claire et parfaite qui le resterait. Elle serait facile à marier, c’était une bonne chose.

Bénédiction ou malédiction, nul ne sait, que les grossesses qui suivirent se soldèrent par des fausses couches. Dix années durant d’enfants morts nés, de fœtus non viables, de sang et de bébés à moitié formés découverts au petit matin dans le lit conjugal… Mais rien ne pouvait empêcher un mari un rustre d’exercer son devoir conjugal, pas même les souffrances de sa femme. Or, une nuit chaude de juillet, un nouvel enfant fut conçu et il s’accrocha à la vie, si bien qu’il naquit fin février, légèrement à l’avance, mais il était parfait. Aussi beau sinon plus que sa sœur aînée maintenant âgée de 10 ans. La peau claire et sans défaut, de grands yeux bleus, de longs cils comme on en voit rarement, beaucoup moins de cheveux que Florance à sa propre naissance, mais suffisamment pour constater un châtain pâles aux subtiles reflets roux. Quelques semaines après cette naissance d'apparence miraculeuse, on vit apparaître des taches de son sur son nez et ses joues. Ah oui, ce bébé était parfait. Peut-être trop… Et les parents qui tous les deux avaient les yeux bruns foncés et aucune trace de rousseur dans leurs cheveux et sur leur peau. Sans connaître les secrets de la génétique, peut-être même des paysans illettrés pouvaient comprendre que deux spécimens comme eux ne pouvaient donner un enfant comme lui. Quelqu’un avait fauté.

Si la femme fut corrigée par son mari, il la garda tout de même près de lui déversant sa frustration sur l’enfant. Enfant qui s’appela Francis. Jamais Francis ne connu une journée sans une gifle ou sans douleur. Il était battu pour tout et pour rien. Non pas que Martin Daitz avait réservé toute sa violence pour lui. Il avait toujours battu ses enfants et sa femme, mais son agressivité était décuplée quand il était face à l’enfant du péché, lui rappelant sans cesse qu’il devait être reconnaissant d’avoir reçu le nom Daitz et de ne pas avoir été considéré comme un bâtard, même si c’est qu’il était. Très jeune, Francis ne pouvait comprendre ces mots, mais ils furent répétés tout le temps qu’il vécut sur la ferme. Deux ans après l’arrivée au monde, maintenant non voulue, de Francis, ce fut au tour de Clarisse. Elle était mignonne, mais sans plus, yeux noirs, cheveux noirs, tout le portrait de ses parents. Ce fut un soulagement.

Les années passèrent et Francis était toujours victime de la faute de sa mère qui le rejetait également car elle voulait garder l’affection de son mari. Émile, devenu comme entendu plus tôt, un grand abruti, ne se gênait pas non-plus pour suivre l’exemple de son père et battre Florance et surtout Francis. Le pauvre enfant était le bouc émissaire de la famille et payait pour tous les malheurs, même les inexplicables, surtout les inexplicables. Francis était une parfaite petite victime, il était résigné, il ne se révoltait pas et s’excusait pour ce qu’il n’avait pas fait, une fois la correction administrée. Mais tout cela allait changer.

Cet épisode se passe en 1634, Francis avait 5 ans. Il est sans doute banal, mais d’une importance capitale dans la vie de Francis. Rares étaient les moments où il avait la paix. Dans ces temps-là, il aimait se réfugié dans les tas de foin de la grange et rêver un peu. Comme sur toutes les fermes, il y avait plusieurs chats qui y vivaient, chassant les rats pestiférés, ils étaient très utiles. Francis aimait leur courir après. Voilà, c’est tout, il courait et il n’a pas vu le seau de lait à côté de la vache. La traite était fraîche. Il ne fallut pas de temps pour que le précieux liquide se retrouve répandu sur le sol. En voyant cela, le cœur de l’enfant se mit à palpiter. Il savait ce qu’il craignait, on le tuerait sans doute cette fois. Que faire? S’il tentait de remplir à nouveau le seau, il n’aurait jamais le temps avant que quelqu’un n’arrive et il se ferait battre. S’il laissait le dégât comme il était, tous les soupçons se tourneraient vers lui. Francis ne pensait plus, il suait à grosses gouttes, quand son regard se porta dehors sur Clarisse, sa petite sœur, âgée de 3 ans, jouait avec une marguerite. Quelques minutes plus tard, Clarisse était sans la grange assise dans la flaque de lait en train de jouer avec le seau. Francis lui avait dit, «Viens, je connais un jeu plus amusant.».

Clarisse avait reçu une violente correction, alors qu’elle ignorait pourquoi. Francis ressenti d’abord de la culpabilité en entendant la petite hurler sous les coups de son père, mais ensuite, il se dit qu’elle devait passer par où il était passé. Il n’en était pas mort, elle n’en mourrait pas non plus. À l’avenir, chaque fois qu’il le pouvait, il mettait le blâme sur Clarisse. Il avait appris à mentir avec une facilité extraordinaire. La même année que l’événement du seau de lait, Florance, âgée de 15 ans, se maria avec un homme qu’elle n’aimait pas. Mais elle préférait cela plutôt que de continuer à vivre dans cette maison. Elle rêvait secrètement d’être infertile, craignant de prendre exemple sur ses parents si elle mettait au monde des enfants. Elle devint adepte de l’avortement maison, celui qu’on pratique avec une broche… Elle mourut la quatrième fois. Pendant que Florance se mariait, vivait malheureuse et mourait de sa peur d’avoir des enfants, à la ferme familiale, Francis avait grandi, il avait 10 ans. Cinq années avaient passé, cinq années de maltraitance et de mensonges de plus en plus sournois.

Ce jour de mai, Émile, 16 ans, était particulièrement irritable. Dans le village, on racontait que la très jolie fille des Beauchamps avait refusé ses avances devant tout le monde, le ridiculisant sur la taille de son… Bref, Émile n’entendait pas rire lorsqu’il croisa Francis chargé d’une trentaine d’œufs qu’il venait de recueillir dans le poulailler et qu’il transportait dans un seau. Sans raison, Émila décocha un coup de pied dans le seau d’œufs qui se retrouva par terre, les œufs tout juste bons à jeter. Ni une ni deux, avant que Francis puisse réagir, Émile appela son père pour lui montrer ce que le bâtard avait fait. Francis était paralysé, cette fois, il ne pouvait rien faire. Plutôt que de recevoir une gifle immédiatement, Martin Daitz empoigna le col de Francis, le traînant jusque dans la grange. Après lui avoir administré plusieurs coups d’une violence inouïe. Francis tomba par terre, sans force, quasiment évanoui. Sa bouche et son nez saignait, il respirait difficilement. Il avait probablement quelques côtes cassées. Alors qu’il croyait que c’était terminé, il n’en fut rien. La violence de Martin Daitz n’avait jamais autant été accrue. Il semblait prêt à tuer l’enfant. Il passa une corde autour du coup de Francis, toujours étendu par terre, il attacha l’autre extrémité à la selle du cheval. Il demanda ensuite à Émile de conduire le cheval tant que la tête et le corps ne seraient pas détachés. Le père Daitz donna une tape sur le flanc de bête qui parti au petit trot. Francis était trop assommé pour réagir à temps. Le cheval l’entraîna. L’enfant était traîné dans la poussière et les roches qui s’engouffraient dans ses blessures vives. La corde serrait de plus en plus, l’air se faisait rare, elle n’entrait. Ça y était, il allait mourir, de la plus ignoble façon qu’il n’avait jamais imaginée. Malgré tout, il s’accrochait à un mince espoir de survivre, il avait passé ses mains entre la corde et son cou déjà brûlé par la friction, il espérait respirer un peu ainsi. Mais il y avait peur de chance de s’en sortir si Émile n’arrêtait pas le cheval. Francis ferma lentement les yeux, prêt à affronter son destin, quand le cheval s’arrêta enfin. Émile avait jeté un coup d’œil derrière et avait cru que son frère était mort. Émile était stupide, sans aucun doute, mais il trouvait dégoûtant d’espérer seulement sectionner la tête de l’enfant. Il s’était dit qu’il attendrait seulement qu’il soit mort et puis l’abandonnerait dans les bois. Après tout, avec ses blessures et la route cahoteuse, il n’aurait pas à attendre trop longtemps. Mais Francis n’était pas mort. Il attendait patiemment de savoir ce qu’Émile allait faire. Ce dernier descendit du cheval et s’approcha de Francis. Il lui donna un coup dans les côtes afin de vérifier s’il était vivant. Malgré la douleur, Francis ne réagit pas. Le reste du plan consistait à enlever la corde et à traîner le corps dans les bois. Lorsqu’Émile se pencha sur l’enfant et qu’il eut retiré la corde, Francis ouvrit les yeux et asséna le coup de pied le plus puissant que sa force lui permettait. Il aurait pu se laisser traîner, mais il ignorait totalement quelles étaient les intentions d’Émile. Il avait décidé de passer à l’offensive. L’aîné reçu le coup directement dans le ventre, ce qui lui coupa le souffle net. Il tomba à genou et se tordit de douleur, ce qui laissa le temps à Francis de s’enfuir avec le cheval.

Quand la nuit fut tombée et que Francis fut certain que personne ne le cherchait, il retourna à la ferme familiale. Il mit le feu à la grange avant de s’enfuir pour de bon. Désormais, il s’appellerait Francis tout court, et il serait un enfant abandonné, ou enfuit de l’orphelinat, un pauvre orphelin dont les parents aimant seraient morts dans l’assaut de leur navire par des pirates alors qu’ils se rendaient en Amérique du Sud pour acquérir une terre avant de faire venir leur fils unique alors en pension à Paris. Les possibilités étaient infinies.

Francis cavala pendant plusieurs jours, se nourrissant comme il pouvait et dormant à la belle étoile. Il trouva du travail comme garçon de ferme, se déplaçant de village en village. On lui offrait le gite en retour, et le couvert. Francis vieillit. Bientôt, il eut 12 ans. Un âge magnifique… surtout pour certaines personnes. Le petit fut initié aux mystères de la vie bien jeune, et découvrit que c’était bien plus payant que de travailler dans une ferme. Il lui arrivait de devenir le favori d’un client pour une période donnée. Dans ces cas-là, il était choyé, cadeaux, vêtements, jolie chambre, voyages même. C’est ainsi qu’il se retrouva à Forbach à l’âge de 13 ans. Il avait suivit un ecclésiastique qui faisait passer son petit protégé pour son serviteur personnel. Sauf que lorsque l’homme de Dieu s’en retourna à Paris, il abandonna le jeune garçon sur place, sans moyen de transport, sans argent. Francis fut pris au dépourvu, mais décida finalement de rester, il avait survécut toutes ces années, cela ne changerait pas. Surtout quand il apprit l’existence de soi-disant sorcières dans le village. Des inquisiteurs y faisaient la loi depuis de nombreuses années. Vendre des informations étaient devenu plus que facile pour un menteur compulsif, d’un côté comme de l’autre. Poursuivant aussi son travail de prostitué, il lui arrivait de pouvoir récolter et vendre de vraies informations. À, maintenant 15 ans, Francis connaissait son métier mieux que quiconque.


Francis Daitz Lusor310

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Francis Daitz Vide
MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeJeu 9 Sep 2010 - 1:25

Hé bien, voilà un bien singulier personnage... Very Happy Je ne crois pas qu'on ait déjà eu quelque chose de ce genre ici.

Je n'ai pas les pouvoirs de validation mais je peux toujours avancer le travail de notre grand admin, j'ai nommé Alicia^^

Bref, je trouve ton personnage très intéressant et surtout innovant, par rapport à ce qui est proposé d'habitude (que ce soit sur le forum ou en général, car d'ordinaire les prostitués sont majoritairement des femmes). Le pauvre babichou n'a pas eu une enfance facile... ton histoire se tient, elle est cohérente, la fiche n'a pas vraiment de fautes d'orthographe et le style est agréable: bref, ça se profile bien Very Happy Là où je trouve que c'est dommage par contre c'est que, malgré que tu remplisses le nombre minimum de lignes imposé, la psychologie de ton personnage ne soit pas explicitée plus profondément. Un perso au passé si dense et si riche, en seulement 15 ans; il a forcément d'autres facettes que ce côté "manipulateur", non?

Bref, bienvenue d'avance sur le forum, ta validation devrait venir sous peu je pense Wink
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MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeJeu 9 Sep 2010 - 1:27

Oh, je peux toujours expliciter sa psychologie, c'est vrai que j'ai mis beaucoup d'emphase sur son histoire... Je travaille là-dessus.

EDIT : Voilà, c'est fait!
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Francis Daitz Vide
MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeVen 10 Sep 2010 - 0:29

Terminé, en attente, avec hâte, de validation!
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Francis Daitz Vide
MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeVen 10 Sep 2010 - 0:34

Tout est ok mon grand! ^^ En vertu de mon tout nouveau pouvoir acquis ce soir, je te VALIDE!

Welcome Wink
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Francis Daitz Vide
MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitimeVen 10 Sep 2010 - 0:38

Merci!
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MessageSujet: Re: Francis Daitz   Francis Daitz Icon_minitime

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