The Witch Slay
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 Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal

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Owen Mansholther
Enquêteur Royal
Enquêteur Royal
Owen Mansholther


Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Vide
MessageSujet: Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal   Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Icon_minitimeDim 3 Oct 2010 - 13:56

Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Homme8

Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Autreh10
Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Autres10

Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Effigi11

Nom : MANSHOLTHER

Prénom : Owen (Josh, Lock)

Surnom : Le Loup de la Reine.

Âge : 31 ans.

Titre : Noble.

Métier : Enquêteur Royal.

Lieu de Résidence :
Anciennement une résidence au sein de la ville de Paris, gracieusement offerte par le Roi de France, en personne, pour service rendus à la Royauté.
Owen va arriver à Forbach, il logera surement à l’Auberge avant de, peut-être, s’offrir mieux.

Relations particulières :
Très bonnes relations avec la Reine et le Roi de France, ainsi que quelques nobles de la Cour Française.
A Forbach, aucune relation pour le moment.

Sentiments vis-à-vis de l’Inquisition :
Owen fait son métier, ils font le leur, et il ne s’y intéresse absolument pas, sauf si son travail l’exige. Les Sorcières n’existent pas, ainsi l’Inquisition n’a aucun réel fondement. Peut-être ont-ils une réelle mission qui leur a été attribuée par Dieu, mais Owen reste sceptique. Enfin, tant qu’ils n’interfèrent pas avec leurs méthodes grossières et dépassées, ils peuvent bien faire ce qu’ils veulent.

Sentiments vis-à-vis des Sorcières :
Pauvres femmes martyrisées par l’Eglise pour une raison insensée. Hélas, on ne peut pas faire grand-chose pour elles. Peut-être un jour le Clergé se rendra compte de sa folie. Owen ne croit pas en la magie, autant qu’il ne croit pas en Dieu. Aucune preuve formelle n’atteste l’existence de ces deux choses, et tant que ces preuves ne lui seront pas présentées, pour lui, ni Dieu, ni la Magie n’auront leurs places dans ses raisonnements.

Objectif éventuel de développement :
Personnage scénaristique.

Signe distinctif : NR.

Description physique :
Laissez-moi deviner ? Vous attendiez vous à une sorte d’enquêteur bedonnant ? Peut-être le genre de personne à ruminer des pensées derrière un bureau, dans le noir, attendant que la solution émerge de son esprit ? Vous êtes loin du compte, bien loin du compte. Être enquêteur, à notre époque est bien plus dangereux qu’on pourrait le croire, et cela demande beaucoup de qualités. Owen est un homme fringuant. La trentaine à peine passée et tout juste marquée sur son visage, il est encore capable de séduire, même si ce n’est pas, et de loin, son passe-temps privilégié. Son physique entretenu, que ce soit par le soin qu’il porte à son alimentation et sa vie, ou par les courses-poursuite dans les rues de Paris ou d’ailleurs, il a gardé toute l’agilité de sa jeunesse même s’il n’est plus capable des prouesses de son plus jeune âge. Bien surpris ont été les criminels qui pensaient le semer.
Ses traits ont définitivement quelque chose de britannique, et même s’il a peut vécu sur le sol anglais, les années passées au cœur du Royaume de France n’ont pas suffit à gommer l’origine de cet homme, ce qui est étonnant, car son français est irréprochable, même si, de temps en temps, l’anglais maternel ressort spontanément. Ses cheveux sont mi-longs, d’une couleur d’un marron très foncé, proche du noir. Ils voguent le plus souvent à leur gré selon le vent, même si Owen semble tenter de les maîtriser avant de se lancer dans le grand bain de la mondanité. Ils font échos au marron de ses yeux, troublant car il semble qu’on y trouve des reflets émeraude par moment. Certains disent qu’il s’agit du reflet de la sagacité de son esprit, il se contente de répondre que ce n’est qu’une particularité physique parfaitement logique, ce qui doit être, sans doute, le cas. Il entretient un bouc avec moustache d’une longueur assez courte sans être à ras.
Assez grand, son style vestimentaire ne sort pas de l’ordinaire, même s’il affectionne tout particulièrement les tenues en cuir tannées couramment utilisées pour les fusiliers. De longues bottes de cuir noir sanglées remontant jusqu’aux genoux, un pantalon et une veste classique, rehaussée d’une seconde pièce en cuir boutonnée du torse à la ceinture via deux jeux de boutons parallèles et dont la partie inférieure est laissée flottante. Il y a également une paire d’épaulières en cuir ornées du blason royal. Pour finir, une paire de gants à manches recouvrent ses avant-bras. La tenue entière est bien entendu sombre comme la nuit. Quant à « Truth » et « Justice » qui ornent sa ceinture, ils ne sont généralement utilisés qu’en dernier recours…

Description psychologique :
On ne devient pas enquêteur Royal sans raisons vous savez, surtout lorsque l’on est anglais de souche ! Bien entendu il y a la réputation, mais cette réputation, comment l’obtient-on ? En résolvant des affaires, les unes après les autres, avec méthode et réussite. Et la méthode, Owen l’a. Que ce soit dans la manière de s’habiller, de résoudre les énigmes ou de traquer les criminels, il procède toujours méthodiquement, étape après étape, ne laissant rien au hasard, tout est soigneusement ordonné comme cela doit l’être. Mais la méthode ne fait pas tout, oh non. Owen a su tirer son épingle du jeu par sa logique, sans faille, au service d’un homme plus Cartésien que Descartes lui-même. Nulle réflexion ne peut être posée sans preuves. Et rien n’existe réellement tant que l’on n’en a pas démontré l’existence formelle. Owen est de ces hommes qui ne croient qu’en ce qui est démontrable, ou démontré. Que ce soit dans son travail ou dans la vie, il est hors de question pour lui de croire sans preuve.
Bien entendu, l’absence de preuves n’empêche pas d’imaginer tous les scénarios possibles, et pour cela, Owen est relativement doué aussi. Même s’il laisse toutes les explications irrationnelles de côté, il n’est jamais à court d’explications plausibles pour un crime ou un mobile. Généralement, sa méthode le pousse à vérifier chacune des possibilités avant de les exclure. Son esprit d’analyse est un outil précieux dans ce but, surtout pour déceler les moindres détails importants, ceux que beaucoup négligent, et qui sont, pourtant, l’essentiel. Aidé par sa mémoire et son sens de l’observation, il passe souvent beaucoup de temps à analyser ses suspects, ses témoins, et plus généralement tout ceux qui interviennent dans une enquête.
Sa patience est également une vertu qu’il a cultivée dans le but de pouvoir résoudre ses enquêtes. Owen s’est vite rendu compte que la précipitation ne mène à rien de bon. Rien ne sert d’agir par impatience ou colère, bien au contraire, et même s’il écoute assez souvent ses instincts, il se garde bien souvent le temps de la réflexion. Il aime regarder, avoir une vue d’ensemble, et le plus souvent il s’ingénue à devenir le manipulateur. Là où le meurtrier joue son jeu, Owen essaie de le prendre à son propre piège, de susciter des réactions. Des provocations programmées pour voir et comprendre, ajouter d’autres pièces au puzzle et peut-être le prendre au piège, même si cela ne marche souvent qu’avec les plus sots.
Plus personnellement, Owen est une personne très sociable, franche et directe. Il n’hésite pas à dire ce qu’il pense, et ce parfois au mépris des règles. Il a le contact facile avec les gens « normaux », le bas-peuple comme certains le disent si fièrement. De part son statut, il côtoie souvent les Nobles et la Cour et même s’il voue un respect profond pour la Reine, et qu’il est noble lui-même, il ne supporte pas l’attitude de la plupart des nobles, des « bien-pensants » égoïstes et imbus d’eux-mêmes. Il reste cependant un homme assez solitaire, n’ayant pas besoin, plus que ça, du contact humain. En clair, un homme professionnel et dévoué dans son travail, rien de plus.

Autre(s) :
Porte une paire de pistolets à la ceinture, « Truth » et « Justice ».
Possède une excellente mémoire, visuelle et auditive.

Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Vita_a11

Cette histoire début en 1613, au mois de Mars pour être précis, mais je préfère vous prévenir, elle n’est pas heureuse, et si vous aimez les contes de fées, vous feriez mieux de passer votre chemin. Vous êtes toujours là ? Bien. Vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenus. Vous voulez l’histoire d’Owen Mansholther, le Loup de la Reine, la voici.

Comme je l’ai dit, cette histoire commence en Mars 1613, par une nuit d’orage où même la foudre ne parvient pas à totalement couvrir les cris d’une mère en plein accouchement. Oui, c’est terriblement difficile pour elle, tellement difficile qu’elle ne survivra pas, ou peu. A peine le temps de porter son enfant quelques minutes dans ses bras, et elle mourra, ayant abandonné toutes ses forces dans le combat pour que son fils vive. Bien sur, le petit Owen n’avait pas eu conscience que sa mère venait de lui être enlevée, car son père, même s’il avait fait le deuil de sa première épouse, prit une charmante jeune femme pour seconde épouse. Il était nécessaire pour lui que son fils ait une mère, même si cela ne devait pas être sa mère maternelle. Envers et contre tout, sa belle-mère fut tout aussi aimante si ce n’est plus que si elle avait été la propre mère d’Owen, au grands soulagement de son père Josh Mansholther, Noble important à la Cour d’Angleterre. Alors certes, les enfances sont plus ou moins heureuses, mais je vous avais bien dit que cette histoire ne l’était pas. Et pour cause, alors qu’Owen venait de fêter ses six ans, on retrouva son père et sa (belle-)mère assassinés.

Vous allez me dire, il y a bien une raison pour cela. La fortune du père, peut-être, ou autre chose… Et bien non… En réalité, il ne s’agissait que d’un crime de plus pour un meurtrier en série, bien connu en Angleterre et qui sévissait depuis quelques mois. Son procédé était toujours le même… Enfin, façon de parler, disons qu’il n’y avait que sa carte de visite qui ne changeait pas : un visage, généralement très visible, fait avec le sang de ses victimes. On ne déplora aucun vol, rien. Les Mansholther n’avaient pas eu de chance, c’est tout. Du moins c’est ce qu’on raconte, et je n’ai pas de raison de dire le contraire. Mais beaucoup évoquent encore le fait que Josh Mansholther aurait pu trahir la Couronne et que cet assassin agissait en fait sous les ordres du Roi pour éliminer, secrètement, ses ennemis. Bien entendu, ce n’est que des fadaises, et il faudrait être un véritable idiot pour y porter ne serait-ce qu’une once d’attention.

Quoiqu’il en soit, même si Owen héritait de tout, biens, finances et titre de noblesse, il était évident qu’il était bien trop jeune pour vivre seul. On fit quelques recherches, et l’on fini par retrouver un oncle, du côté de sa mère maternelle. En effet, son père, Josh, s’était marié à une française, et cette femme avait un frère, noble à la Cour de Paris. On fit les lettres nécessaires et finalement, le petit Owen fut envoyé en France, corps et biens, auprès de son oncle qu’il ne connaissait ni d’Eve, ni d’Adam, ce qui était bien entendu réciproque. Ce fameux oncle n’avait pas de femme, ni d’enfants. Souvent à la Cour du Roi de France, il n’avait pas le temps de s’occuper d’un garçon anglais dont il ne comprenait pas un mot de ce qu’il disait. Il lui fit donc apprendre le français et termina son éducation à l’aide de nombreux précepteurs, plus sévères les uns que les autres. Une chose était sûre, l’enfance d’Owen s’était terminée le jour de la mort de ses parents, et même s’il s’acclimatait à la France, et son nouvel environnement, il n’en restait pas moins garçon renfermé sur lui-même, ressassant sans cesse les détails de la mort de son père et de sa mère. Il n’apprit d’ailleurs que plus tard que celle qu’il appelait sa mère n’était en fait que sa belle-mère, et que sa vraie mère était morte en lui donnant la vie. Cela ne fit pas tellement de différences pour lui, même s’il s’en trouva légèrement privilégié, à l’idée d’avoir eu la chance d’avoir deux mères pour lui seul.

Entre les études et les heures passées dans sa chambre sans un mot à quiconque, la vie d’Owen n’était pas passionnante. Son oncle avait bien tenté de l’initier lui-même au violon, instrument dans lequel il excellait, mais le jeune homme ne semblait pas partager cette passion pour cet instrument, même si, apparemment, il semblait apprécier écouter de la musique classique. Un peu exaspéré, son oncle décida, alors qu’il en avait l’âge, de l’emmener avec lui à la Cour. Owen apprit alors à faire des « mondanités ». Discuter de tout et de rien avec des gens qu’il ne connaissait même pas. Son français presque parfait ne trahissait pas beaucoup ses origines anglaises, et même si certains s’interrogeait, la présence de son oncle était suffisamment impressionnante pour faire taire tous les racontars à son sujet. Après tout la présence d’un noble anglais à la Cour de France en a fait jaser plus d’un, que ce soit pour des élucubrations de complot – totalement infondées – ou des théories encore plus farfelues. Owen était parfois la source de théories plus démentes que l’imaginaire fécond de certains auteurs de romans passionnants.

La vie à la Cour était d’un mondain… Le pauvre Owen s’y ennuyait à chaque minute qu’il y passait, et même si certains moments étaient plus ou moins passionnants, il devait admettre qu’il aurait bien voulu faire autre chose. Le soir, il écumait les rues, les bars, il écoutait les rumeurs en faisant semblant de boire. Il glanait les informations à l’insu de ceux qui parlaient quand l’alcool déliait leurs langues. Âgé de vingt-deux ans, c’était un fringuant jeune homme et attiré par l’aventure. Peut-être que le traumatisme de son enfance l’avait éveillé au crime, ou peut-être était-ce simplement autre chose, mais Owen aimait chasser les criminels. Personne ne le connaissait, c’était un jeune homme comme un autre pour tout le monde, du moins pour tout le bas-monde. Il écoutait, par ici, par là, et des fois il récoltait des informations sur un voleur, un meurtrier… Avec de la patience et de la méthode, il recoupait les indices et parvenait à trouver le coupable. Son oncle ayant quelques relations avec la police royale, et Owen le chargeait de leur remettre les informations ainsi que ses conclusions. Ayant abandonné l’idée de détourner son neveu de cette voie, ce dernier s’exécutait, et je pense même qu’il s’était pris au jeu avec son neveu.

Bien entendu, on avait gardé la plus précieuse confidentialité sur cette aide anonyme qui aidait à arrêter plusieurs criminels recherchés. L’oncle du jeune homme ne voulait pas qu’on puisse remonter jusqu’à son neveu. Qui pouvait savoir de quoi ces gars étaient vraiment capables ? Mais deux ans plus tard, un évènement incongru se produisit. En effet, on découvrit plusieurs cadavres dans la ville, tous signés de la même façon : un sourire dessiné avec le sang des victimes. Bien entendu, Owen fit immédiatement le lien avec la mort de ses parents et malgré les tentatives de son oncle, il se jeta à corps perdu dans cette enquête. Toutefois, elle fut bien plus difficile que toutes les autres, car cet homme n’avait aucunes connaissances dans la ville, personne ne parlait de lui, sauf quelques pleutres qui disaient ne pas vouloir le croiser. Les seules informations qu’il recevait, venait de la police, et des rapports qu’elle lui envoyait une fois qu’un nouveau meurtre était découvert. Le jeune Mansholther n’avait aucun répit à s’accorder tant qu’il ne trouverait pas le coupable, intimement convaincu qu’il s’agissait là du meurtrier de ses parents, même si vingt-années le séparaient de ce crime.

L’enquête prit un nouveau tournant quand celui qu’on surnommait John Le Rouge commença à s’en prendre à la Noblesse française. Renforcé par ses précédents meurtres, il semblait maintenant suffisamment en confiance pour s’en prendre à des cibles plus intéressantes pour lui. Connaissant la Cour relativement bien depuis ses années à y errer, Owen put surtout enfin avoir un accès direct aux scènes de crimes, et donc, à plus encore de choses que ne lui en rapportaient les rapports de police. Bien entendu, il avait jeté un œil assidu sur ces rapports, mais rien ne valait la scène de crime en elle-même. Moyennant quelques connaissances, il avait pu observer de près les scènes de crime, et il en avait appris un peu plus sur John Le Rouge. Les policiers étaient passés à côté de quelques détails importants et ils n’apparaissaient donc pas les rapports qui lui avaient été fournis. La traque avait été difficile, mais il avait fini par réussir à le coincer. Le temps de prévenir la police et de filer sur le lieu du prochain meurtre, cette fois-ci, John le Rouge fut arrêté, jugé et condamné à la peine de mort bien entendu. Owen s’était arrangé pour pouvoir le voir en prison, pour savoir, pour ses parents. Mais ce n’était pas lui… Juste un malade qui avait entendu parler de ce tueur en série de Londres et s’était inspiré de son procédé.

Suite à cette arrestation, Owen fut officiellement intégré dans la police royale et il fut gratifié par la Reine du titre d’Enquêteur Royal. Dès lors, on dit qu’il a mis plusieurs criminels sous les verrous. En quelques années, la capitale était redevenue une ville plus sûre que toutes ses jumelles en taille. On dit beaucoup qu’il s’occupait d’affaires personnelles, spécialement confiée par la Reine, et qui concernait les complots contre la Couronne. On prétend aussi que certains nobles auraient été arrêtés à cause de lui. Bien entendu, il est difficile de faire la part des choses entre la réalité et les rumeurs. Une chose est sûre, son surnom, le Loup de la Reine, doit bien avoir une signification, celle-là ou une autre… On dit qu’elle lui a d’ailleurs donné une nouvelle enquête, concernant une petite ville du Duché de Lorraine, Forbach. Une chose est sûre, s’il y a un bien un assassin qui court dans cette ville, je lui conseille de faire attention au loup.

Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Lusor310

Comment avez-vous entendu parler de The Witch Slay ? Besoin scénaristique.

Qu'est ce qui vous à le plus plu sur ce forum ? NR.

Disponibilité : NR.
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Alicia Loewenstein
Meneuse
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Alicia Loewenstein


Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Vide
MessageSujet: Re: Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal   Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Icon_minitimeDim 3 Oct 2010 - 13:57

Welcome Sir !

Personnage décidément cinématographique ! Wink

Fiche Validée !
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Louisa Zimmerman
Baron(ne)
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Louisa Zimmerman


Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Vide
MessageSujet: Re: Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal   Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Icon_minitimeDim 3 Oct 2010 - 14:44

Est-ce donc vous, qui faite si souvent crier de peur les âmes innocentes, monsieur le loup de la Reine ?

Bon jeux Enquêteur, j'espère que vous aiderez Forbach ! ^^
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Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Vide
MessageSujet: Re: Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal   Owen Josh Lock MANSHOLTHER - Enquêteur Royal Icon_minitime

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