The Witch Slay
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Je ne serais pas toujours courbée...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Viviane Valdemar
Vieille peau fripée à pustules
Viviane Valdemar


Je ne serais pas toujours courbée... Vide
MessageSujet: Je ne serais pas toujours courbée...   Je ne serais pas toujours courbée... Icon_minitimeDim 28 Aoû 2011 - 2:37

Ton regard s’égare par la fenêtre une nouvelle fois, c’est à chaque fois le même spectacle désolant : une pluie fine, incessante, de quoi miner le moral du plus joyeux des citadins. Tu ne ressens pourtant pas le cafard qui t’étreins habituellement par ce temps. Tu repenses à ta journée et, à nouveau, la colère envahit ton visage. Des rides d’irritation barrent ton front, tes lèvres sont pincées alors que tu sembles ne vouloir qu’une seule chose : hurler. Je te connais, je lis en toi comme dans un livre ouvert, je reconnais cette supplique muette, je sais par quoi tu es passée, je te comprends. Tu as vu Narcissa ce matin, incapable de te reconnaître, et pire encore, de se reconnaître. Autrefois, le chagrin t’aurait accablée et tu te serais effondrée en pleurant. Mais quelque chose aujourd’hui a changé, n’est-ce pas ?

Comme autrefois, Europe a parlé, a fait preuve de « compassion », a voulu prendre les choses en main. Mais tu ne l’as pas écoutée, pas cette fois. Pourquoi Viviane ? Qu’y a-t-il de changé ? Tu lui faisais confiance autrefois, tu l’admirais, il y avait entre vous une sincère et profonde amitié. Aujourd’hui, tu as ouvert les yeux sur cette confiance aveugle que tu lui accordais, et tu as compris qu’elle te manipulait. Comment Viviane ? Pourquoi t’a-t-il fallu autant de temps ? Je ne peux plus rien pour toi désormais, il est trop tard. Je n’ai pas les armes pour lutter contre cette haine qui envahit ton cœur. Cette haine dont tu avais été protégée jusqu’aujourd’hui par l’amour que tu portais aux tiens. Mais la Narcissa que tu connaissais, que tu aimais, pour qui tu éprouvais une profonde tendresse est morte. Et Cassandra, ta propre sœur enfin retrouvée s’est détournée, accablée par ses propres soucis. Alors aimer ne signifie plus rien pour toi...

Pourtant, tu étais promise à un brillant avenir, à une vie heureuse, mais rien de tout ceci ne s’est réalisé. De nombreuses années durant, tu as subi des pertes, toutes plus affligeantes les unes que les autres. Après la disparition de ta sœur alors que tu avais à peine quatorze ans, le rapide décès de ta mère qui l’a suivi, et puis quelques années plus tard, celui de la seule famille qui te restait au monde : ton père, il ne te restait rien, personne à qui se raccrocher, à qui confier tes angoisses et tes peines. Alors tu t’es renfermée et tu t’es donnée sans compter pour la seule chose qui te restait : Olrun. Par là-même, tu as tout donné à Europe, la Grande Prêtresse de ta tribu, lui accordant une confiance sans bornes, confiance qu’elle ne méritait peut-être pas.

Et c’est peut-être cela que tu as compris aujourd’hui, n’est-ce pas ? Europe t’a trahie, bafouée, t’as enlevée la seule chose qui te restait : ta dignité. Du moins, est-ce comme cela que tu perçois les choses. Tu la rends responsable de ce qui est arrivé à ton admirable nièce, à ce qu’Hélion lui a fait subir, mais tu sais au fond de toi qu’elle n’est pas la seule responsable... Toi aussi tu as failli à ta mission : tu t’étais jurée de protéger les tiens, enfin retrouvés ! Tu n’as pas pu empêcher l’Agent du Diable de les attaquer, tu n’as pas vu les malversations d’Hélion alors même qu’elles avaient lieu sous ton nez. Tu t’es laissé aveugler Viviane ! Ton orgueil t’a fait oublier que tu n’étais pas infaillible et tu en paies les conséquences de la manière la plus atroce qui soit. Aujourd’hui, il ne te reste plus rien à quoi te raccrocher. C’est pour cela que tu laisses cette colère t’envahir ! Je voudrais pouvoir t’aider, mais tout ceci échappe désormais à mon pouvoir.

Alors assise dans ton fauteuil, tu regardes cette pluie sans fin s’écraser contre les vitres de la salle de séjour. Ta respiration est forte, je sais que tu cherches à te calmer, mais tant que tu continueras à penser à cette épouvantable soirée, tu ne pourras pas. Europe a pris les choses en main, comme elle l’avait promis. Hélion a été convoquée dans les règles, les trois Prêtresses étaient présentes. Les preuves étaient accablantes, Hélion n’a même pas cherché à s’en défendre. Elle était fière, son regard dément, tu ne pourras jamais l’oublier. La sentence est tombée comme un couperet : l’amnésie. Avec le plus grand calme, vous avez toutes les quatre opéré un rituel dont tu ne connais que trop bien les conséquences. Tu as privé cette femme d’un véritable jugement, tu le sais, vous lui avez enlevé sa vie, et pourtant, cela ne te suffit pas. Nulle trace de culpabilité en toi, je le sais, pire encore, tu penses que la sanction n’a pas été assez lourde. Tu penses qu’Hélion étant pourrie jusqu’à l’âme, pourvue d’un passé et de connaissances ésotériques ou non, elle sera toujours dangereuse. Tu n’as pas tort, mais est-ce bien à toi de décider ?

Dans un mouvement d’humeur, tu te lèves et enfile ton manteau. Je voudrais pouvoir te dire de ne pas sortir, je voudrais t’en empêcher, parce que je sais ce qui va se passer, mais tu refuses d’écouter. Sur les nerfs, tu as décidé de prendre l’air et sans un regard en arrière, tu sors dans la nuit noire. Minuit est dépassé depuis longtemps, à cette heure, plus personne ne traîne dans les rues. Les nuages masquent la lune, en quelques minutes, tu es trempée, mais tu n’y prends pas garde. Tu arpentes les ruelles sombres, la boue macule déjà ton manteau mais tu ne remarques rien. De ton pas vif, tu as déjà arpenté des nombreuses rues, mais ton esprit n’est pas plus apaisé, loin de là. C’est alors que tu la remarques.

La silhouette avance, hésitante dans ta direction, elle semble perdue, confuse. Immédiatement, tu la reconnais et tu sais qu’elle n’aura pas la moindre idée de qui tu es. Tu devrais faire demi-tour, partir, au loin, mais tu te sens irrépressiblement attirée vers elle. Alors tu poursuis ta marche dans sa direction et tu ne penses pas, tu ne réfléchis pas aux conséquences que tout cela pourrait avoir. Hélion a le regard vide, elle semble légèrement absente, elle voudrait te demander quelque chose mais n’y parvient pas. Tu ne parles pas, tu te contentes de la foudroyer du regard. La revoir, comme ça, libre de tout mouvement alors que tu sais qu’elle a tenté de tuer Narcissa il y a quelques jours à peine décuple la colère qui grondait en toi depuis des heures. Tu sens que tu es en train de perdre le contrôle mais tu ne parviens plus à lutter contre ce tourbillon d’émotions qui t’envahit. De fine et piquante, la pluie est devenue torrentielle, et l’orage gronde déjà au loin. Tu sais que tu ne te maîtrises plus, que tu devrais partir mais tes pieds restent enfoncés dans la boue froide.

Tes yeux sont secs, nulle trace de chagrin ou de larmes. Hélion semble comprendre que quelque chose ne va pas et veut reculer, mais elle ne fait que s’écraser lamentablement sur le sol. Elle est incapable de parler, terrifiée par ce qu’elle lit dans ton regard. Même un aveugle comprendrait que tu en veux à sa vie, et Hélion est peut-être amnésique, mais elle voit. Va t’en tant qu’il est encore temps ! Laisse-là ! Elle ne pourra plus faire de mal à qui que ce soit, tu le vois bien, Viviane, qu’elle n’est plus en état de nuire à qui que ce soit. Tu n’entends pas, plongée dans tes pensées.

Un premier éclair zèbre le ciel. Ta chevelure d’un roux éclatant ressort étrangement dans ces ténèbres. Méfie-toi Viviane, tu es si aisément reconnaissable. Alors que je pensais que pour la première fois, tu m’avais peut-être entendue, un murmure s’est élevé du sol, de cette chose écrasée par la pluie et la peur. Ce ne fut qu’un seul nom, murmuré, d’une voix plaintive.

« Narcissa ? »

Je devine alors que tout est perdu, l’inévitable arrivera et je ne pourrai rien contre cela. Hélion a eu une réminiscence. L’éclair qui a illuminé la ruelle quelques instants auparavant lui a révélé ton visage et tes cheveux, en toi, comme tant d’autres, elle a reconnu le visage de ta nièce et de ta sœur. Toi qui étais restée muette jusqu’ici, voilà que tu te mets à hurler. C’est un cri inhumain, ta douleur même le plus insensible des humains la comprendrait. Narcissa n’est pas sauvée, elle est toujours en danger. Tu n’es pas devenue Prêtresse pour rien, tu contrôles admirablement tes pouvoirs. L’orage qui déverse des torrents de pluie et des éclairs à n’en plus finir, c’est toi qui le contrôle. Et tu sais que tu peux le faire Viviane, tu peux mettre ce monstre hors d’état de nuire, pour toujours, et Narcissa sera à l’abri, au moins d’elle. De toutes tes forces, tu invoques et prie Olrun, elle ne t’a jamais trahie jusqu’ici, et ce n’est pas maintenant que ça arrivera. Et ça ne manque pas, un éclair se forme dans le ciel, et dans un sinistre craquement vient achever sa course sur Hélion. La misérable meurt sur le coup.

Mais un tel orage ne peut éviter d’attirer l’attention, dans les maisons voisines, des faibles lueurs se devinent au travers des volets mal ajustés. Les voisins se sont réveillés. D’ici quelques secondes, ils mettront le nez dehors, se demandant d’où pouvait bien provenir le cri qu’ils ont entendu quelques minutes plus tôt. L’orage a-t-il fait des dégâts ? Y a-t-il des incendies ? Les gens ont peur Viviane, et rien n’est plus dangereux que la peur, tu le sais... Tu viens de le vivre. Mais tu restes là, les yeux rivés sur ta victime. Alors seulement tu comprends ce que tu viens de faire et tu t’effondres à genou, le corps secoué de lourds sanglots. Il n’est pas temps pour le chagrin, pas temps pour les conséquences, pas encore ! Cours Viviane, cours avant que quelqu’un ne sorte et ne te voie. Échappe-toi tant qu’il est encore temps ! Va chez Antoine, lui seul pourra te comprendre et t’aider.

Alors lentement, tu te redresses. Tu entames la longue course qui te mènera chez Antoine. Tu es presque aveugle mais ta vitesse n’en n’est pas moins grande. Tu franchis à peine le coin de la rue que les premiers badauds sortent et découvrent le cadavre. L’orage a fait une victime, une pauvre hère, vêtue de haillon. Quelqu’un la connaissait-il ? Effrayés, tous se signent, l’orage ne frappe pas au hasard. Qu’avait-elle bien pu faire pour mériter la colère de Dieu ? Nul ne voit les traces de tes pas dans la boue, ne souhaitant pas rester à proximité de cette scène sinistre, les gens rentrent chez eux. Il sera toujours temps, demain, de s’occuper de cet encombrant cadavre.

Mais toi, Viviane, tu es à des années-lumière de toutes ces préoccupations. Tu coures comme si ta vie en dépendait, plus vite que jamais, éperdue. Tu voudrais échapper aux conséquences de ce que tu viens de faire, mais tu ne pourras pas, et tu le sais déjà. Cette course n’empêchera pas le fantôme d’Hélion de te rattraper.

Je t’avais pourtant prévenue Viviane, si seulement tu avais bien voulu m’écouter.
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/fiches-personnages-f3/viviane-va
Europe
Fugitive
Fugitive
Europe


Je ne serais pas toujours courbée... Vide
MessageSujet: Re: Je ne serais pas toujours courbée...   Je ne serais pas toujours courbée... Icon_minitimeLun 29 Aoû 2011 - 0:48

Un orage terrible noyait Forbach, s’amoncelant en strates anthracites et bleuies. Des foudres cyanusées nimbaient de temps en temps la terre d’une lueur blafarde, mais un éclair bien plus vigoureux et intense que les autres fit lever la tête à Europe, occupée à son bureau de remplir les derniers papiers avant d’aller dormir. Quelle journée… L’averse diluvienne et le fracas du tonnerre semblaient matérialiser le contrecoup de toute la rage éprouvée par les différents protagonistes de cette épuisante journée. La sienne, bien sûr, mais surtout celle de Viviane. La dirigeante d’Olrun n’avait pas oublié les flammes froides qui couvaient dans le regard de son ancienne amie, au moment où celle-ci avait déclaré rompre tout lien de confiance.

Si elle savait! Si elle savait les dessous de cette affaire, la Prêtresse ne se serait pas contenté d’un discours atrabilaire et d’une déclaration d’hostilité. Oh non, elle aurait plutôt démoli Europe à coup de poings si elle avait appris que c’était
elle le commanditaire, elle qui avait mandaté Victoria Hélion pour s’occuper personnellement de Narcissa… et elle qui avait fait mille fois pire encore. Vous pensiez que l’histoire s’arrêtait ici? Alors c’est que vous connaissez mal Europe.

Hélion n’était pas présente à son propre procès. C’était un fait strictement calculé. Viviane pensait sans doute, comme le reste du commun des mortels, que l’inviter à l’audition lui permettrait de mieux se défendre; en gros, une sorte de débat démocratique. La dirigeante d’Olrun avait donc fait en sorte que le procès se tienne sans Hélion, simulant la sévérité envers cette dernière et profitant de cela pour remonter dans l’estime de Viviane, faisant semblant de considérer que la gravité de son crime ne donnait même pas le droit ni l’opportunité à cette femme de se défendre. La réalité était toute autre: Europe n’avait pas souhaité qu’Hélion assiste au procès, justement pour éviter que cette dernière ne dévoile qui était le commanditaire de tout cela… La Grande Prêtresse d’Olrun. Car après tout Hélion, se savant condamnée, aurait peut-être voulu emporter ultimement quelqu’un dans sa chute et compromettre Europe.

En vérité, c’était même plus compliqué que cela. Les deux femmes avaient convenu, longtemps avant, que si un tel événement se produisait, que si la situation venait à dégénérer, la Grande Prêtresse sauverait Hélion. Même si le rituel d’amnésie –ou toute autre sanction- venait à être pratiqué, un marché avait été passé: Europe appliquerait la sanction aux yeux de tous pour sauver son alibi de dirigeante, puis irait rendre la mémoire à Hélion une fois que tous auraient le dos tourné. C’était équitable: un gage de protection en échange des services d’Hélion.

La Grande Prêtresse avait donc pratiqué le rituel avec ses trois subalternes. Jusqu’au dernier moment, Hélion avait cru qu’Europe tiendrait sa parole.

Et puis elle avait vu. Elle avait vu, une mili-seconde avant de perdre la mémoire. Elle avait croisé le regard de la dirigeante d’Olrun et vu dans ses yeux, dans l’esquisse de petit sourire mesquin que formaient ses lèvres, qu’Europe ne viendrait pas la sauver. La Grande Prêtresse l’avait doublée et profiterait de l’amnésie d’Hélion pour dissimuler à jamais la preuve de ses propres forfaits.




A présent son petit doigt disait à Europe qu’il risquait d’y avoir de sacrés changements de la hiérarchie d’Olrun dans les mois à venir. Les actions de la dirigeante n’étaient plus plébiscitées par Viviane –cela, c’était désormais certain, déclaré officiellement. Et c’est pourquoi la Grande Prêtresse trouvait nécessaire de surveiller ses arrières.

La pacifique Elisabeth et la timorée Inès n’avaient aucune chance de mettre sur pied une rébellion de leur propre chef. En revanche, Europe était convaincue que Viviane et sa nature présomptueuse représentaient une menace. Oui, c’était Viviane, la menace, l’héroïne de l’infiltration de 1629, la seule figure de proue appelée à opérer la destitution -si un jour destitution il devait y avoir. La Grande Prêtresse ne la voyait à présent plus comme un bras droit mais comme un danger. Et elle ne pourrait plus prendre aucune décision sans crainte d’une tentative de soulèvement, sans anticiper dans le regard de son ancienne amie les prémices d’une insurrection.
Tout en préservant un visage neutre, elle réfléchit très vite. Que faire désormais? Surveiller tous les faits et gestes de sa Prêtresse paraissait une évidence, une précaution élémentaire; pourtant Europe ne souhaitait pas que les choses prennent cette tournure.
Non, il fallait un remède plus… radical, au nouveau problème tout juste survenu.

Neutraliser Viviane.
La mettre hors d’état de nuire; pas nécessairement physiquement, mais tout du moins, la rendre incapable d’insuffler des pensées frondeuses aux autres sœurs d’Olrun. Elle était devenue trop gênante, il fallait trouver rapidement un moyen d’action.
En soi cela ne présentait apparemment pas de difficultés majeures. Viviane était une personne forte mais avec beaucoup de faiblesses: dont pour commencer, sa sœur et sa nièce, inoffensives petites créatures… Bref, il y avait une multitude de pistes à exploiter.
Il fallait également que ça a l’air d’un accident. Sinon la Grande Prêtresse signerait son arrêt de règne. Elle n’était pas persuadée que le chantage fonctionnerait sur quelqu’un comme Viviane.

Les paroles de sa Prêtresse lui revinrent en mémoire.
J’ai dit que tu étais manipulatrice, mais je n’ai jamais dit que tu étais suffisamment intelligente pour le faire correctement… Europe esquissa un sourire. Et toi, Viviane? Si tu étais suffisamment intelligente, tu aurais vu tout ça, tu aurais vu que mes plans ‘manipulateurs’ dépassent de beaucoup les prévisions de ta cervelle étriquée.


Dehors, un autre éclair, inouï de violence, déchira le ciel en même temps qu’il semblait à Europe entendre les vagues échos de quelque cri étrange. Elle ne les distingua pas de l’orage, se contentant d’observer par la fenêtre. Forbach s’illumina entièrement comme sous la prunelle du jugement dernier, se fondit dans un bruit cataclysmique, puis ce fut tout.
Revenir en haut Aller en bas
https://witchslay.forumsrpg.com/Premieres-Lueurs-c5/Le-Recueil-f
 

Je ne serais pas toujours courbée...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Witch Slay :: Sur les Pavés - Ville :: Les Quartiers Résidentiels :: Les Masures Paysannes-